mardi 15 janvier 2013

Surnatural Orchestra

Samedi 26 janvier, 20h30, au Théâtre de Montreuil, M° Mairie de Montreuil, ligne 9, sortie avenue Pasteur, ciné-concert autour de Profondo Rosso (Italie, 1975), qui est un film de Dario Argento interdit au moins de 16 ans. Sortie du livre-disque de Surnatural Orchestra dans la foulée, Profondo Rosso : notes pour un ciné-spectacleobjet lourd, rempli à la pelle, où papier imprimé et pistes sonores creusent l'expérience sensorielle. Avec les contributions de Maurizio Lazzarato [sociologue, philosophe], Hervé Joubert-Laurencin [spécialiste d'André Bazin et de Pier Paolo Pasolini], Marcello Tari [historien], collectif Tiqqun [philosophes situationnistes], Lison De Ridder [plasticienne, dessinatrice], Benoit Preteseille [dessinateur], Jom Roniger et Jean-Baptiste Thoret [historien, critique de cinéma]. Editeur, Collectif Surnatural, 178 pp. environ, premier tirage de 1000 exemplaires, 20 €, extrait :
« Une lame dans la poche et son téléphone qui sonnait toutes les cinq ou dix minutes, notre voisin de comptoir n'était pas farouche […]. Faisant l’âne pour attirer mon attention, il me souriait bêtement. Une fille comme vous aurait détourné la tête. Pas moi. J’enfourchai l’âne et le tournage se fit sans anicroche, sans accroc d’une heure à l’autre dans le plan de travail, avec les putes donc — les nôtres étaient des fausses, des comédiennes — et les travelos au fond du cadre qui faisaient de la figuration. Eux étaient vrais. »
Deux sœurs, l'une d'elles adoptée, le désir existe entre elles, les hommes, Dario Argento, etc. Sister, naughty Betty, est-elle si mauvaise ? La Loi du genre, par Jom Roniger, nouvelle, 7 pp., 4150 mots.




jeudi 10 janvier 2013

FurReal

Coucou Jérôme, plus une minute à moi, Salvatore est un ogre insomniaque :-) et pourtant, tu le sais, j'aimerais te lire. 

J'en profite pour te souhaiter mille et un arrêts sur image laissant ainsi place et temps aux émotions. 

Surtout envoie moi ton travail, cela me rassure de savoir que bientôt je pourrais à nouveau te lire, sourire, revenir plusieurs fois sur tes coups de gueules justifiés, tes interrogations, tes dénégations. Que je pourrais être à nouveau, tantôt surprise par la poésie de ton écriture tantôt impuissante, intriguée et/ou friande de la tournure brutale de certains passages qui frisent parfois la pornographie :-)

Surtout aies confiance, tout le monde ne peut pas aimer ce que tu écris, tu déranges, et tant mieux !

Je t'embrasse,
Syb