dimanche 22 janvier 2012

Le brouillon d'une définition, n° 1

« Je suis le nouvel homme, et après Marcel Proust, Haruki Murakami, Billy Wilder, Emily Brontë et William Shakespeare, c'est le concept de Gender fiction qui m'intéresse. J'écris dans ce cadre-là après Judith Butler. Je suis masculin, féminin, et pas seulement mon sexe… », fait le blog-miroir entre les mains de l'écrivain aux rayons Jouets, Amours & Compte en banque. C'est la théorie de l'homme et de la femme, et inversement : être une femme, un homme, sont des rôles que la vie semble nous forcer à endosser. Notre identité, notre intimité, sont au-delà. Le Gender fiction tente plusieurs rôles, des inversions, afin d'éclairer les différences, même infimes, dans tout ce qui nous semble répétitif et seulement immuable sur une échelle des générations dessinant une croix : en haut, les grands-parents, en bas, les enfants, et au centre, cette abstraction que sont l'homme et la femme. Ouvrant paradoxalement le champs des possibles, notre rapport à l'enfant détermine et confirme cette abstraction. Gender fiction, une femme faite homme pour danser, rivaliser avec lui, et inversement.